Cellule des jumeaux -Quel camps choisirez vous?...

Continuant de me ronger les ongles, Ayato me présentais encore une fois. Il savait très bien que je n'allais pas tellement parler avec ces gens, que je connais pas et qui sont encore plus fou que nous deux réunis. J'écoutais quand même ce que le mec avait à dire et tout sa me donnais encore plus envie de rire et aussi, de me jeter par la fenêtre. Qu'ils me tuent tout de suite alors, je ne veux pas faire partir de leur jeux à la con. Que je souffre ou pas c’est la même de toute façon, on va rester enfermer à rien faire tch... Croisant les bras en regardant le vide, il parlais beaucoup trop à mon gout. Il se crois super puissant, mais qui s'est qui l'a nommé rois des ténèbres de mon cul ? Ils se battent entre eux steuplais... C'est débile ! Mon cul aussi que l'on va guérir, c'est un piège un rat géant ici, ça ne fait aucun doute ! Me mordant cette fois la lèvre, je tremblais de nouveau, de partout. Séparer ahah..

Et qu'est-ce que je vais faire franchement, j'en ai marre de tout sa ! Je n'étais toujours pas décider à répondre quoi que ce soit, qu'il aille se faire foutre avec sa gueguerre de merde ! Il aurait pu très bien déjà gagner la bataille non ?vu que môôôsieur est fort hein. Ni l'un , ni l'autre, j'étais déjà le jouet de ma propre folie alors , j'ai pas envie d'en être un a quelqu'un d'autre non plus ! Surtout à des étrangers... Le souffle de nouveau coupe,r je posais mes mains devant ma bouche pour m’empêcher de péter de nouveau un câble. Je serais je pense, tout à fait cape de me jeter sur lui et le poignarder... Je ne suis pas sûr qu'ils puisse ressusciter les gens, ici...

Bien parler Ayato. Je les écoutaient toujours d'une oreille alors que je regardais droit devant moi en ne disant toujours rien. Ce n'est pas mon habitude d'être silencieux comme une carpe mais là c'est pour la bonne cause et puis, je suis arriver quelque part dont je connais rien donc normal si je suis comme ça. Soupirant profondément,j'avais réussis à complètement me calmer. Je baissais encore plus la tête, entendant ensuite de nouveau la voix de la femme qui disait que nous devions être séparer. Pourquoi c'est moi qui dois partir ?

Soufflant, je me levais lentement, cachant mon regard de mes mèches de cheveux. Je tremblait légèrement mais réussissait à me contenir. Je me retournais sans rien dire et avançais lentement vers la sortie, bousculant l'homme au cheveux noir pour faire face à l'infirmière. Parler seul à seul .?on va me faire quoi après ? me torturer ou me dire des horreurs ?J'attend, qu'est-ce que j'en ai à faire après tout, on est dans un asile ! Je peux m'attendre à tout désormais et de toute façon...

Je saurais comment me défendre si je suis en danger. Ils me font pas peur, c'est pas eux qui vont m'apprendre comment je dois guider ma vie ! Cela était étrange venant de moi que je n’ai pas fais de crise en apprenant que donc, on devait être séparer. Mais en vérité, intérieurement je criais, hurlais ma peine comme pas permis. Je cachais la vérité. Mon regard était vide, une expression de visage neutre, je laissais rien paraitre, non, ce serais trop facile sinon.